Bon et heureux 1er mai

« Avril fait la fleur, mai en a l’honneur »

Création Martine PV

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Je vous offre ce muguet en gage

de santé et de bonheur,

de chance et de joie.

Le 1er Mai ce n’est pas gai,

Je trime a dit le Muguet.

Dix fois plus que d’habitude.

Muguet, sois pas chicaneur,

Car tu donnes du Bonheur.

Brin de Muguet, tu es quelqu’un.

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Discours des fleurs de Georges Brassens

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Bye bye Avril !

Bienvenue à toi Mai !

Mes amitiés à tous et toutes !

Excellente poursuite de semaine !

Colette

Mon mois émoi avril 2024 : Mardi le 30 avril

PAR ICI

Nous quittons le mois d’avril ou inversement car, lui pourrait en dire autant, pour passer au mois le plus beau : Le mois de Marie.

Le 2 avril, nous célébrons les funérailles de notre compagne de 94 ans, décédée le 10 du mois précédent. J’y faisais les prières universelles.

Le 4 avril et le 24 avril, oui, vous lisez bien. Rassemblement à la cafétéria à 14 h 30. Nous allons à la cabane à sucre. Moment tant attendu et désiré de toutes. La joie se lit sur tous les visages. Nos compagnes de l’infirmerie en mesure d’y participer se sont jointes à nous. N.B. : pour celles et ceux qui ont connu Annette, elle était du groupe. Dégustation bonne à s’en lécher les doigts : Bon pain spécial, crème à verser sur le sucre dur et le sucre mou, tire d’érable (ce que j’aime le plus) petits cornets de sucre et tire, etc. Tout cela a un goût de revenez-y et, à chaque année, nous n’y manquons pas !

Le 8 avril, c’est l’éclipse solaire totale dans le ciel de certaines parties du Canada, selon la trajectoire qu’elle suit. À Québec, ce ne fut pas totale mais, n’ayant pas les lunettes appropriées, je n’ai quand même pas regardé en face, par prudence. Assise dans ma chambre, dos au soleil, rideau fermé de cette fenêtre, bien entendu. De ma deuxième fenêtre, aucun danger. De la télévision, j’ai tout suivi de Montréal, eux, étant dans la trajectoire. De cette deuxième fenêtre, lorsque la lune recouvrait totalement le soleil, j’ai vu (pendant un peu plus de 3 minutes) le ciel se noircir et j’ai senti le froid se produire. J’ai touché du doigt l’importance de ces deux astres. Que ferions-nous sans l’une et l’autre !!!

Captures d’écran

Et puis :

ICI

Le 9 avril, c’était ma coupe de cheveux et surprise, en me relevant de la chaise après mon lavage de tête, le boyau ouvert est entré dans mon chemisier. Que ce fut agréable : chaud juste bien et très reposant. Je n’ai eu aucune réaction. La coiffeuse toute surprise de voir mon chemisier tout mouillé, s’est exclamée mais, que s’est-il passé … on a bien ri.

Le 11 avril, nous célébrons les funérailles de notre compagne de 98 ans, décédée le 26 du mois précédent.

Ce même jour :

J’ai reçu une jolie carte virtuelle de Rose63

Merci beaucoup à toi, c’est tout à fait gentil !

Gros becs 😘 de mon Québec !

Le 23 avril :

J’ai reçu de Marie des Vignes ces deux adorables chats

Photo Colettedc

et, ce superbe brin de muguet

(que je porterai certainement sur moi ce premier mai)

Merci beaucoup Marie, c’est tout à fait gentil !

Gros 😘 becs de mon Québec !

Au dos du livre :

« En moi, une petite fille était recroquevillée avec, en son cœur, une formidable histoire à raconter : celle de sa maladie et de son cheminement si bien accompagné. » En 1966, à la suite d’une méningite contractée à la naissance, je développe une hydrocéphalie. Native de l’Abitibi, je reçois des soins d’abord à Noranda puis à Montréal, par les pionniers du CHU Sainte-Justine. Mon parcours en neurochirurgie, de l’âge de quatre mois jusqu’à sept ans, est exceptionnel. Maintenant retraitée, au terme d’une carrière de plus de trente-quatre ans comme infirmière, j’embrasse tendrement mon enfance et raconte mon passage de la maladie à la santé. À travers ce récit, je manifeste ma reconnaissance à l’égard de toutes les personnes qui ont pris soin de moi avec bienveillance et compétence. Alliant la candeur de l’enfance et les connaissances des soignants, ce livre propose un voyage de la tête au cœur et plusieurs occasions de s’émerveiller.

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Bon mois de mai

à

chacune et chacun,

Colette

Liste 78

An’Maï et compagnie

Odyssée, s’interdire, recommencer, auréolé, menace,

inimaginable, paradis, insolite, véhicule, audacieux.

Liste Diverto

Cher petit homme

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Cher Louis, bien audacieux, notre petit homme. Déjà, à son jeune âge, il rêve de ne rien s’interdire dans la vie ; inimaginable, insolite, et ce, qu’on le menace de se calmer ou pas.

Ce soir, ayant terminé d’écrire ses devoirs, auréolé de joie à la pensée de mettre à exécution sa nouvelle tentative de liberté ; il en soupire de bonheur.

Je ne me contenterai pas d’un simple véhicule mais, je veux voler en avion partout dans le monde, comme mon papa, je suis sûr que je vais y arriver, quitte à recommencer très souvent. Pour moi, ce sera le paradis !

Le voilà donc, bras étendus, tête en l’air, cigarette bonbon au bec, suspendu de la poignée de porte à sa tête de lit. Au moment où il s’y attend le moins, atchoum ! Oui, il éternue. Bing ! Bang ! Le voilà par terre.

Sa mère, puce à l’oreille de tout ce fracas, arrive à la rescousse. Terminée l’Odyssée ! Au lit jeune homme !

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Bon début de semaine,

Colette

Pour ce lundi 22 avril 2024 : Réécrire une histoire en changeant de point de vue

N°291

À la barre :

Les Cabardouche

Les Cabardouche proposent le défi suivant : Réécrire une histoire en changeant de point de vu « c’est-à-dire de modifier un texte en prenant la place d’un autre personnage, en changeant de perspective ou en s’opposant à une opinion ».

Pour ma part, j’ai choisi : Chat et souris associés – Un conte merveilleux des frères Grimm.

C’EST ICI

De cela, suit ma participation au défi :

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Rat et Chatte ligués

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Un rat fit la connaissance d’une jolie chatte. Il l’assura si bien que ses sentiments envers elle étaient amicaux et chaleureux que la chatte se laissa convaincre et finit par accepter de vivre avec le rat, sous le même toit. Il nous faudra faire des réserves pour l’hiver, dit le rat, sinon, nous risquons de mourir de faim. Toi, ma gentille chatte, tu peux aller partout et, en te minaudant gentiment, on te comblera de bonnes choses, assez pour nous deux. C’était une bonne idée ! Ce qui fut fait !!! Ils réfléchirent longtemps où cacher tout ça et, finalement, le rat décida : nous le cacherons dans l’église ; on ne peut imaginer meilleure cachette ! Personne n’osera emporter quelque chose d’une église. Ils y portèrent donc le tout.

Le rat dit à la chatte : Mon cousin m’a demandé d’être parrain de son petit dernier. Je dois le tenir pendant son baptême. Laisse-moi y aller, et occupe-toi aujourd’hui de la maison toute seule, ma grande, veux-tu ? Vas-y si tu veux, et pense à moi quand tu mangeras de bonnes choses.

Cependant, tout cela était faux ; le rat n’avait pas de cousin lui ayant demandé d’être parrain. Il s’empressa donc d’aller à l’église, rampa jusqu’à la réserve et en mangea une part. Ensuite, il partit se promener dans les champs le ventre plein comme un rat des villes. Puis, il s’allongea au soleil. Et chaque fois qu’il se souvenait des bonnes choses de la réserve, il se léchait le museau. Il ne rentra à la maison que dans la soirée.

Te voilà de retour, l’accueillit la chatte. Est-ce que tu t’es bien amusé ? Vous avez dû avoir du plaisir ! Oui, ce n’était pas mal, répondit le rat. Quel nom a-t-on donné à ce raton, lui demanda la chatte. « Jenel’saispas » répondit sèchement le rat. Quel drôle de nom ! Assez rare, dirai-je-, dit la chatte. Est-ce que c’est un nom courant dans votre famille, ajouta-t-elle. Tu peux dire ce que tu veux, rétorqua le rat mais, ce n’est pas pire que « Mangesouris », le nom de tes filleuls !

Peu de temps après, le rat se sentit de nouveau l’eau lui venir à la bouche. Sois gentille, supplia-il, occupe-toi encore une fois de la maison seule. Fais cela pour moi, petite chatte adorée ; on m’a encore demandé d’être parrain. La gentille chatte fut d’accord.

Puis, le rat se glissa à travers le mur de la ville, s’introduisait dans l’église et vida la moitié de la réserve amassée. Rien à faire, se dit-il, c’est bien meilleur quand on mange tout seul. Et, il se félicita de son exploit. Lorsqu’il arriva à la maison, la chatte lui demanda : Comment se nomme le bébé ? « Miparti » répondit le rat. Pas possible, s’écria la chatte ! Je n’ai jamais entendu un nom pareil. Je parie qu’il n’est même pas dans le calendrier.

Mais, le rat ne tarda pas à sentir de nouveau une petite fringale. « Jamais deux sans trois » dit-il à la chatte. On me demande de nouveau d’être parrain. Tu me laisseras y aller, n’est-ce pas ? « Jenel’saispas » ! « Miparti » ! répondit la chatte, ce sont des noms si étranges. Cela ne s’est jamais vu. Ils me trottent dans la tête sans arrêt. C’est parce que tu restes tout le temps ici, avec ta robe à pois, tu passes toutes tes journées enfermée ici, pas étonnant que tout se brouille dans ta tête, dit le rat. Voilà ce qui arrive quand on passe sa vie dans ses sabots. Le rat parti, la chatte fit le ménage dans toute la maison.

Pendant ce temps, le rat gourmand vida entièrement la réserve. Il se dit en lui-même, maintenant que j’ai tout mangé, je ne serai plus tenté. Il en eut de la misère à marcher. Il ne rentra à la maison que la nuit, mais serein. La chatte lui demanda aussitôt le nom du troisième raton. Je suis certain que tu n’aimeras pas, lui dit le rat. Il se nomme « Toufini ». Et, elle de lui dire : Cela me paraît suspect, ce nom ne me dit rien qui vaille. Je ne l’ai jamais vu imprimé quelque part. Qu’est-ce que cela veut dire, au fait ? Il hocha la tête et s’endormit.

Depuis ce jour, plus personne n’invita le rat à un baptême. L’hiver arriva, et dehors, il n’y avait rien à manger. La chatte se rappela qu’ils avaient quelque chose en réserve. Viens mon rat, allons chercher nos bonnes choses cachées pour les temps durs. Nous allons nous régaler. Ils s’en allèrent et lorsqu’ils arrivèrent dans l’église de réserves il n’y avait plus. La boîte était vide.

Ça y est dit la chatte, je comprends tout, j’y vois clair à présent. Tu as tout mangé quand tu allais faire le parrain : D’abord ton « Jenel’saispas » hypocrite, puis ce « Miparti » et pour finir … Tais-toi, coupa le rat, mais la chatte avait le «Toufini » sur la langue et à peine l’eut-elle prononcé qu’elle l’étrangla dans le but de le partager avec ses filleuls les « Mangesouris ». C’est ce qui arrive lorsqu’on n’est pas loyal.

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Bonne semaine,

Colette

L’Atelier de Ghislaine, N°236

GHISLAINE

Sujet 2

Facile, mémoire, perdre, énergie, refuge, abus.

Sujet 6

Texte libre à votre convenance

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Merci

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Dans ce lien construit au sein d’une famille unie et pleine d’énergie, doux refuge sans abus, heureuse et sans histoire, je garde bonne mémoire et ce, sans rien ne perdre en souvenirs.

Enivrant mes sens de ces souvenirs amassés, petits et grands bonheurs pleuvent par milliers ; instant fort de ces années accumulées.

Puis, de la plus belle histoire pas toujours si facile, de cette vie choisie, d’en connaître encore intensément l’ivresse chaque jour par la présence de mon Bien-Aimé, je ne puis que dire merci !

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Bonne fin de semaine

à

toutes et tous,

Colette

Le petit jeu de Cricket (32)

CRICKET

Logo créé par Ghislaine

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Homonymes à utiliser :

MARRE (se marrer) – MARRE (ras le bol) – MARE (la mare).

Mon texte :

Tu en as MARRE de renverser, bousculer, culbuter tout ce qui t’entoure ! La grande MARE d’eau t’invite ! Alors, MARRE-toi ; vas-y à cœur joie ! Prends du bon temps !

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Acrostiche avec le mot :

CHAVIRER

Chante à tue-tête ta chanson.

Hume à plein nez l’air pur.

Avance en toute sécurité.

Vas-y, c’est toi le pilote !

Imagine, t’es entre ciel et eau.

Regarde bien le paysage autour.

Entre dans cette euphorie !

Rame, rame, l’eau te porte.

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Bon mercredi,

Colette

Image N°25

 

An’Maï

À partir d’une image proposée les 1^er et 15 de chaque mois,

écrire notre ressenti en quelques mots : haïku, citation,

pensée personnelle ou d’auteur, acrostiche que l’on peut si

on le souhaite insérer dans l’image proposée

Peines trahisons

Affligé de souffrances

Blessures du cœur

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Bon après-midi et ou bonne soirée,

Colette

Thème d’avril 2024 chez ABC

ICI

Elle nous dit : votre texte débutera par « Il, (elle), est … » ou « Il, (elle), a … » suivi d’une expression française de votre choix.

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Tu seras papa

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Elle a un cœur d’artichaut.

Lui et elle se retrouvèrent tous les deux par hasard de passage dans un pays inconnu, ailleurs, loin des leurs ; donnant chacun le meilleur d’eux-mêmes à leur tâche respective.

Ce fut vraiment une rencontre de circonstance. Faut croire que c’était irrévocablement leur destinée.

Ce matin, elle a le cœur vraiment à la joie et, pour cause. L’émotion sera certainement à son comble qu’elle se dit et ce, toute remplie d’espérance.

Elle laisse s’échapper un petit soupir de contentement au moment où il accepte la sortie qu’elle propose chez le marchand d’oublies.

Ces gaufres n’ont jamais eu un si bon goût en l’entendant dire tout sourire :

Toi et moi ! Oh ! Quel bonheur !

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Bon vendredi,

Colette

Liste 77

An’Maï et compagnie

Glaçant, lendemain, immersion, souligner, sensible,

enjeux, meilleur, maladresse, réinventer, rendez-vous.

Liste Diverto

À son toutou chéri

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Dans nos rêves d’enfant, rien ne semble glaçant.

Voguent nos rêveries ; puisque tout nous sourit.

Immersion dans la vie, et saut dans l’eau de pluie.

Ignorant les enjeux, tu vis, tu es heureux.

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Souligner maladresse, réinventer meilleur.

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Rendez-vous des petits, à son toutou chéri.

Lendemain assouvi, cœur sensible guéri.

Puis tout va pour l’instant ; ça va, tu es content.

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Bonne semaine,

Colette

L’Atelier de Ghislaine, N°235

GHISLAINE

Sujet 5

Un texte qui commence par :

« Un jour j’ai » et …

Qui se termine par « je ne l’ai jamais su »

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Ce temps là

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 « Un jour j’ai » et par le fait même constaté qu’au cours de ma vie, je n’ai pas toujours survolé les difficultés à haute altitude.

J’ai parfois cherché à éluder certaines situations malencontreuses. J’ai échafaudé bien des projets qui m’ont causé de l’inquiétude.

Je ne boude pas du tout ce temps qui est du passé car, à quoi bon se tarauder l’esprit avec ce qui n’est plus.

Par habitude, je vis le moment présent sans trop me soucier de l’avenir. En toute gratitude j’éprouve une grande joie d’être ce que je suis et ce, en toute sincérité. Tout simplement moi en accord avec moi-même.

Qu’en serait-il si mon attitude avait été autrement ! Ça, je l’ignore ! Je ne m’en suis jamais préoccupé et ainsi, « je ne l’ai jamais su ».

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Amicalement,

Colette