Pour ce lundi 16 janvier 2023 : « Le premier jour de l’année, surtout me plaît. »

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Défi N°275

À la barre :

DURGALOLA

Elle nous propose un texte qui débute soit par la phrase :

« Le premier jour de l’année, surtout me plaît. » extrait de « Notes de chevet » de Sei Shônagon (dame d’honneur d’une princesse au Japon – 11ème siècle)

« Le ciel pur se voile d’une merveilleuse brume. Tous les hommes soignent particulièrement leur figure et leur tenue, ils présentent leurs souhaits au Prince et aussi à eux-mêmes. C’est vraiment ravissant. »

Ou soit la phrase : « Le plus beau, dans ces voyages, c’était ça : respirer l’air du réel. » …

Le premier jour de l’année

.

« Le premier jour de l’année, surtout me plaît. »

Car, à chaque jour qui suit, mon amitié grandit.

Il commence par de bons souhaits et, ainsi, il se termine.

Il réunit à table parents et ami(e)s.

Tous portent leurs plus beaux habits.

C’est épatant !

Le sol est blanc, basse est la température.

Toutes les saisons s’y succèdent.

Du premier au dernier jour, je m’applique à y mettre

de la vie.

Du premier au dernier jour, j’essaie de me renouveler.

Chaque premier jour de l’année m’ouvre

un chemin nouveau.

Chacun de ces jours, mérite d’être vécu

comme si c’était le dernier.

Voilà pourquoi :

« Le premier jour de l’année, surtout me plaît. »

Bonne semaine,

Colette

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Pour ce jeudi 27 octobre : À l’âge de six ans

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Défi N°270

À la barre :

ANNE

Son thème : Ces objets qui font notre environnement :

Elle nous propose d’écrire un poème ou une courte nouvelle évoquant

un moment de vie influencé par un objet.

À l’âge de six ans

.

Moments plaisir, divertissement.

Ma vie sans toi, comment la penser !

Vraiment, tu es compagnon charmant.

Gloire à celui qu’a su t’inventer.

.

Compagnon de chacun de mes jours.

Ça, depuis l’âge de mes six ans.

École, maison, avec moi toujours.

Tu es, oui, vraiment épatant !

.

Que tu aies été vert ou jaune,

Qu’importe, tu fis mon affaire.

T’ayant découvert toute jeune,

Encore et toujours, sais me plaire.

.

Cher crayon, oui, tu es un amour !

Que tu sois en couleur ou de plomb,

Ton influence durera toujours.

Dans la tête, tu m’as mis bien du plomb !

Bon jeudi,

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Pour ce lundi 24 octobre : Poupée petit soldat

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Défi N°270

À la barre :

ANNE

Son thème : Ces objets qui font notre environnement :

Elle nous propose de faire parler un objet qui raconte sa propre histoire

pendant un moment déterminé ou bien son quotidien.

Poupée petit soldat

.

Nous en étions vers la fin de la guerre et, j’attendais bien sagement au magasin général que quelqu’un daigne jeter les yeux sur moi, moi, poupée petit soldat. Un jour, une dame entre au magasin et, se dirige immédiatement vers moi. Je frissonnais de bonheur. Elle m’amène au comptoir, donne de l’argent à la caissière qui, elle, me dépose dans un sac de papier brun. La dame m’amène avec elle.

Dehors, je me demandais bien quel serait mon sort mais, je fis confiance. Nous voilà à la maison. La dame ouvre le sac et me confie à Colette. À ce moment précis, je me rends compte que c’est certainement sa maman. Passent les jours et, je me rends compte également, que je suis là, pour une bonne cause. La dame, sa mère, attendait un bébé et ce, depuis quelques mois déjà.

Dans les années quarante, il faut bien se l’avouer, les mamans n’avaient pas besoin d’échographie pour en découvrir le sexe du bébé, simplement la façon dont piochait le petit être en devenir leur suffisait amplement.

La maman de Colette désirait fortement donner à son bébé le prénom de Gaétan mais, son papa ne voulait pas, pour tout l’or du monde, y consentir. Alors, elle dit à sa petite fille de trois ans, ton petit soldant, il se prénomme Gaétan.

Toujours est-il que Colette était proche de son papa. Il la berçait souvent mais, lorsqu’il voulait l’asseoir sur ses genoux, elle me réclamait lui disant oui, mais avec mon p’tit Gaétan. De même, il s’est habitué à entendre mon prénom.

Puis le jour venu pour la naissance du bébé, ses parents la gardèrent à la maison, couchée dans une chambre du haut, pensant qu’elle n’en aurait nullement connaissance mais, ce ne fut pas le cas. La voilà qui se met à pleurnicher. Son papa monte alors nous chercher. Il nous a pris sur ses genoux.

Lorsque la grand-mère de Colette sortit de la chambre avec le bébé, elle le déposa sur la table de la cuisine et s’installa pour le laver. Colette s’exclama : Oh ! le beau p’tit Gaétan. À ce moment-là, son papa s’approcha de la porte de la chambre et dit à son épouse : C’est ainsi qu’on le prénomme, hein. Oui, certain, qu’elle lui répondit.

C’est ainsi, qu’à force de me côtoyer, mon prénom fit son chemin et, c’est ainsi aussi, que j’accomplis ma mission pendant ce moment déterminé.

Bonne semaine,

Colette

L’Atelier de Ghislaine, N°198

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GHISLAINE

Avec les mots :

Broder, observer, œuvrer, omettre,

dresser, oublier, obliger, être.

~

Petites pauses improvisées

.

La vie est un combat de tous les instants ; il est impensable de la broder et d’en dresser une liste à l’avance car, tous les évènements en sont imprévisibles et, font partie de notre destin.

Sans en omettre la réalité de chaque jour, de temps en temps, quittons tout ce brouhaha d’agitations stressantes et fatigantes ; observons notre si belle nature, fermons les yeux quelques minutes, oublions nos soucis et laissons-nous bercer par le doux chant des oiseaux dans le repos et la tranquillité de nos oasis ; les nôtres.

Cette détente oblige, dans le monde bruyant dans lequel nous œuvrons. Alors, allons-y pour de bonnes petites pauses improvisées et, la vie en sera plus aisée.

~

Bonne fin de ce mardi

 et

bon mercredi,

Colette

La vie au cœur de la nature

Mil et une

Cette semaine, un logo-rallye nous est proposé :

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ICI

Sujet 5 – du 2 au 9 juillet

Nous avons donc dix mots à utiliser

et, facultativement, adjoindre une image de notre choix.

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La vie au cœur de la nature

.

Qu’ils soient bleus ou bruns, c’est avec les deux yeux de notre VISAGE que nous voyons la vie mais, c’est en franchissant la PORTE de notre cœur, que nous devenons vraiment en mesure de l’apprécier à sa juste valeur.

Si généreuse, est la nature à notre égard. De JOUR en jour, elle nous offre un si bel AMALGAME de changements de décor ! LABYRINTHE de beauté ! Aucune journée n’est totalement SEMBLABLE à l’autre. Saisissant FRISSON à chaque fois. Aucun GRIBOUILLIS, si beau soit-il, n’est en mesure de l’égaler.

Sortons donc de notre COQUILLE car, nous l’avons devant nos yeux ; pourquoi ne pas en PROFITER pour nous en émerveiller pleinement ! Regardons, écoutons, goûtons et, que nos yeux soient ravis de ce qu’ils voient. Ne l’oublions surtout pas, si belle est la nature et tout ce qu’elle contient !

~

 Bon mardi,

Colette

Colombe

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Colombe, signe de vie et de paix

Paix

Au récit du déluge, le niveau de l’eau resta haut pendant cent cinquante jours sur la terre … Au bout de quarante jours, Noé ouvrit la fenêtre qu’il avait faite à l’arche. Il laissa partir un corbeau. Celui-ci sortit et s’en revint bientôt : il fallait attendre que l’eau se résorbe sur le terre. Puis Noé laissa partir une colombe, pour voir si le niveau de l’eau avait baissé. Mais elle ne trouva aucun endroit où se percher, car l’eau couvrait encore toute la terre ; elle revint donc à l’arche, auprès de Noé. Celui-ci tendit la main, prit la colombe et la ramena dans l’arche. Il attendit une semaine et la laissa de nouveau partir. La colombe revint auprès de lui vers le soir ; elle tenait dans son bec une jeune feuille d’olivier. Alors Noé sut que le niveau de l’eau avait baissé sur la terre. Il attendit encore une semaine et laissa partir la colombe, mais celle-ci ne revint pas … Noé ôta le toit de l’arche, il regarda dehors et constata que toute la surface du sol était sèche … Noé sortit de l’arche, avec sa femme, ses six fils et ses belles-filles. Puis sortirent aussi par familles, tous les animaux, avec les oiseaux, et les petites bêtes qui se meuvent au ras du sol. (Genèse 8, 6 à 20)

.

« La colombe accomplit une mission, elle annonce la fin du déluge, donc la nouvelle Alliance entre Dieu et l’humanité issue, de Noé, alliance qui sera signifiée, un peu plus tard par l’arc-en-ciel ».

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Bon mercredi,

Colette

Thème de mars chez ABC : « Les cigogneaux s’envolent, mais heureusement la Cigogne reste »

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« Les cigogneaux s’envolent,

mais heureusement la Cigogne reste »

~

C’est l’envolée,

l’envolée des cigogneaux.

Quitter le nid,

parfois, un peu,

c’est beaucoup de nostalgie.

Quitter, c’est le lot,

le lot de la populace

et, c’est aussi,

à d’autres faire la place.

Eux qui font leur expérience

et, sur leur chemin avancent.

Ce que l’on a accompli,

n’est rarement dans l’oubli.

Quitter et revenir,

n’est certes pas leur nuire.

Mais avec le sourire,

MERCI,

savoir leur dire.

Puis, réciproquement,

avec le cœur content :

Sur le chemin de la vie,

à chacun son parti.

Car malgré l’envolée,

la Cigogne est restée.

~

Bonne fin de semaine,

Colette

Liste 28

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An’Maï et compagnie

Cinétique, carafon, pustule, glorieuse, ostentatoire,

moulin, calendrier, bidonville, asticoter, bourlinguer.

Liste de Lionel, Louise, Margot, Richard et Anne-Marie.

~

Qu’en pense-tu !

.

À force de bourlinguer ici et là, accepte donc de bon cœur que ta moitié t’asticote, et si gentiment parfois. Tu n’as pas remarqué, elle ne peut à la fois être au four et au moulin dans le calendrier.

Ton signe ostentatoire ; ta cinétique lorsque tu déambules sur la route, fait de toi un type digne des plus miséreux des bidonvilles. Même carafon et pustules en prime.

Glorieuse, ta vie ; qu’en penses-tu !

~

Bonne semaine,

Colette

L’Atelier d’écriture d’Evy, N°340

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EVY

Les mots :

Rencontrer, installer, jour, regretter, épanouir,

étrange, oublier, espérer, craindre, arrêter.

Le thème :

Le chemin de vie

~

Sur ce chemin de vie

.

Sur le chemin de notre vie, nous suivons une route ; portant notre petit baluchon, qu’il soit léger ou lourd.

Sur le chemin de notre vie, nous rencontrons des impasses ; que nous oublions.

Sur le chemin de notre vie, nous commettons des maladresses ; que nous regrettons.

Sur le chemin de notre vie, nous affrontons d’étranges difficultés ; que nous surmontons.

Sur le chemin de notre vie, nous empruntons des routes sur lesquelles d’autres nous ont précédés ; ce qui fait que nous nous épanouissons.

C’est là, justement, que nous apercevons des panneaux indicateurs nous permettant de faire un choix personnel. Nous, nous y installons, car rien à craindre, nous semble-t-il. Tout nous pousse à espérer.

Tout en traînant notre petit bonhomme de chemin, nous entrons en plein cœur de notre vie. Rien ne peut nous arrêter. Fidèles à ce que nous sommes, nous nous transformons au fil des jours.

Sur ce chemin de choix, d’autres se joignent à nous ; nous sommes en solidarité, en relation tout autant avec celles et ceux qui sont dans la peine, qu’avec celles et ceux qui sont dans la joie.

Grâce à cette expérience, nous devenons d’un même cœur avec elles et eux.

Sur le chemin de notre vie, nous devenons « autres ».

Aujourd’hui, laissons-nous changer par ces personnes que nous rencontrons sur ce chemin personnel qui est le nôtre.

~

Bonne semaine,

Colette

Pour ce lundi 4 octobre 2021

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N°254

À la barre :

JEANNE FADOSI

Elle nous dit :

Imaginons que nous ne sommes que vers la fin de septembre 2019. Pour celles et ceux qui mesurent le temps en années scolaires, elle vient de commencer et vous avez des rêves voire des projets plein la tête.

Essayons de faire abstraction du vécu de ces deux dernières années pour écrire un texte de quelques lignes en prose ou en vers (libres ou pas) dans lequel nous nous projetons dans cet avenir proche. Rêvons un peu, beaucoup, passionnément !

Retour vers le futur

Et si on rembobinait ?

C’est le 27 septembre 2019

.

Les enfants ont repris le chemin de l’école depuis trois semaines déjà. Tout va bien dans le meilleur des mondes. La température est bonne, le soleil ne manque pas, et on y retrouve encore quelques fleurs et ce, même si les feuilles jaunissent. Normal, c’est l’automne !

Splendide saison

Spectacle de la nature

Don momentané

Je regarde, je contemple, j’accueille ce beau temps automnal, où le bonheur m’attend. J’y ouvre toute grande la porte de mon cœur. Bruissement des feuilles, instant magique, odeurs particulières ; sentiment de bonheur.

Jaune orange rouge

Arbres brillez de vos feux

Beauté de nos lieux

Une bonne surprise, la première semaine de novembre nous offre à peu près tous les jours de beaux cristaux de neige. Très vite, vient la fin de ce mois avec ses décors à faire rêver.

Les vitres givrées

Un petit réchauffement

Un café bien chaud

Puis filent les heures dans ce monde enchanteur des joies partagées.

Silence de la terre

Ténèbres et solitude

Calme de novembre.

Accueillons décembre. Nos majestueux arbres, dans un silence givré, telles des perles de rosée, offrent de doux matins hivernaux.

Viennent le Joyeux Noël et la Bonne Année, janvier et février :

La neige poudre les grands arbres aux bras dénudées ; coiffe les passants d’un chapeau d’hermine. Quand paraît le soleil, ses paillettes fait briller.

Neige toute blanche

En petits ou gros flocons

Neige toute blanche.

Avec mars, s’invite le printemps avec un grand changement :

Retenu(e) chez soi

Contemplation et repos

En sécurité

.

Sacrée pandémie

En bonne santé chez soi

Le choix de la vie

Au juste, que seront nos lendemains …

Bonne semaine

à

toutes et tous,

Colette

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