Pour ce lundi 13 mars 2023 : Salutations-z-et bla, bla, bla …

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Défi N°279

À la barre :

ZAZA

Elle nous demande de faire un texte rigolo en utilisant des liaisons « mal ta propos » du genre : « Si tu ne viens pas à Lagardère, Lagardère ira-t-à toi. »
La liaison consiste à faire entendre devant un mot commençant par une voyelle (ou h non aspiré), la consonne finale du mot précédent, qui serait dans un autre cas muette.
Ça, c’est le principe général. Mais en fait, certaines consonnes muettes subissent par la même occasion une altération.
Merci-z-à tous !

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Salutations-z-et  bla, bla, bla …

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– Bonjour madame-z-Hélène !

Comme ça, vous-z-êtes dans les parages !

– Bien oui, nous passions par-z-ici mais, dans-z-un mois, nous serons-t-au chalet. C’est commode quand-t-on a deux chez-nous, quand ça ne fait pas-t-à une place-t-on s’en va à l’autre.

Z-voulions vous remercier pour vos-z-haricots d’l’autre jour-y-sont-ta-beaux et-y-sont-ta-bons.

– J’vous-z-en-remercie bien moi-z-aussi.

– Qui est-ce qui rit-t-aux-z-éclatas comme ça ? T’a-z-entendu ça ?

– Ne vous-z-en faites pas avec ça, c’est ma fille-z-Hortensia avec la p’tite voisine.

– Pensez-vous qu’elles ri-z-de moi ? Si c’est-z-ainsi, qu’elles ri-z-donc d’elles au lieu de rire des-z-autres !

– Dans tous les cas, madame-z-Hélène, -z-vous dit-t-un secret. Nous le mois prochain, nous devions prendre un-n-avion mais, mon-z-Henri ne veut rien-t-entendre. Pourtant, il devrait-z-être heureux, c’est notre grand fils-z-Hugo qui paye. J’en ai les larmes-z-aux yeux. Que c’est donc-t-une grande malchance pour moi.

– Pourtant, il devrait-z-y aller, il est toujours resté par-z-ici. Ce n’est pas quand il aura cent-z-ans qu’il se décidera !

– Je vais me contenter de rester-z-ici comme d’habitude. Quand vous repasserez-z-une autre fois, vous-z-arrêterez-z-encore, ça m’fait du bien de parler-z-avec vous.

Alors-z-au revoir, madame-z-Hélène cela m’a fait-z-un grand, grand bien.

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Bonne semaine,

Colette