Mon mois émoi décembre 2022 : samedi le 31 décembre

PAR ICI

Nous voici déjà à la fin du dernier mois de l’année 2022. Que le temps passe !

Le 4 décembre : Repas festif avec nos personnes associées à la spiritualité de notre congrégation.

Ce même jour, à notre Oratoire, je fais la lecture des prières universelles à la messe télévisée de Radio-Canada.

Le 8 décembre : Repas festif avec les employés.

Le 13 décembre : Décès d’une de nos compagnes 95 ans.

Le 20 décembre : Ma coupe de cheveux.

Puis, fête de Noël à mon secteur de travail.

21 décembre : Funérailles de notre compagne.

27 décembre : Concert de violon par le conjoint de l’une de nos réceptionnistes. Ce fut SUPER ! Il est membre de l’orchestre symphonique de Québec.

Vœux reçus au cours de ce mois :

De Rose63

 Merci beaucoup Rose.

C’est tout à fait gentil,

gros becs 💖💖💖

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De Marie des Vignes

Merci beaucoup Marie.

C’est tout à fait gentil,

gros becs 💖💖💖

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De Renée G.

Merci beaucoup Renée,

c’est tout à fait gentil,

gros becs 💖💖💖

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De Liliane D.

Merci beaucoup Lili,

c’est tout à fait gentil,

gros becs 💖💖💖

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De Chantal et Rémy

Merci beaucoup à vous deux.

C’est tout à fait gentil,

gros becs 💖💖💖

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De Mireille Dupin

Merci beaucoup Mireille.

C’est tout à fait gentil,

gros becs 💖💖💖

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De Ghislaine G.

Merci beaucoup Ghislaine.

C’est tout à fait gentil,

gros becs 💖💖💖

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De Yolande Z.

Merci beaucoup Yolande.

C’est tout à fait gentil,

gros becs 💖💖💖

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De Monique L.

Merci beaucoup Monique.

C’est tout à fait gentil,

gros becs 💖💖💖

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Voici aussi quelques crèches :

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BONNE ANNÉE 2023 à chacune et chacun,

Colette

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Pour ce jeudi 29 décembre 2022 : Le matin des étrennes ⭐

DÔMI

À LA BARRE

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N°274

Thème : Silence on tourne !

Elle nous dit : pour les participations du jeudi, j’aimerais que vous redonniez un peu de magie à ceux pour qui cette fête de Noël a perdu tout son sens. Vous pourriez même dédier votre poème à des personnes de votre entourage.

Quant à moi, je le dédie à celles et ceux qui me liront, tout simplement. Merci à l’avance et BONNE ANNÉE !

Le Nouvel An d’Arthur Rimbaud

(1854-1891)

Le matin des étrennes

 

Ah ! quel beau matin, que ce matin des étrennes !
Chacun , pendant la nuit, avait rêvé des siennes
Dans quel songe étrange où l’on voyait joujoux,
Bonbons habillés d’or, étincelants bijoux,
Tourbillonner, danser une danse sonore,
Puis fuir sous les rideaux, puis reparaître encore !
On s’éveillait matin, on se levait joyeux ,
La lèvre affriandée, en se frottant les yeux …
On allait, les cheveux emmêlés sur la tête,
Les yeux tout rayonnants, comme aux grands jours de fête,
Et les petits pieds nus effleurant le plancher,
Aux portes des parents tout doucement toucher …
On entrait ! …puis alors les souhaits … en chemise,
Les baisers répétés, et la gaieté permise !

 

Arthur Rimbaud   

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Bon jeudi,

Colette

Liste 47

An’Maï et compagnie

Traducteur, attiser, monument, contrefaçon, divertissement,

graver, carrefour, canular, abandon, priorités.

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Un simple canular

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Au carrefour, une œuvre remarquable, un riche monument attise la colère de la majorité des habitants des environs.

Quelques-uns, cependant, ont un petit sourire en coin qui n’a aucunement rien de la contrefaçon ; un simple divertissement.

Quant à eux, sans le graver dans leur mémoire ; non, il n’est vraiment pas dans leurs priorités et ils ne se posent même pas de questions. Leur réaction en est une d’abandon total. Que sa description soit formulée uniquement dans une langue étrangère, loin d’eux l’idée d’un recours à un traducteur pour y remédier au plus tôt en y joignant plusieurs langues.

Ils ne voient là, dans cette œuvre, qu’un simple canular. Dommage !

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Bon mercredi,

Colette

Pour ce lundi 26 décembre 2022 : Le miracle de Noël 🎄

DÔMI

À LA BARRE

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N°274

Thème : Silence on tourne !

Elle nous demande d’imaginer le scénario d’un film tout en nous inspirant de l’image que voici :

Adèle, femme séparée rencontre un veuf et son enfant. Comme par hasard, l’ex-mari de celle-ci, apparaît dans le décor. Cette rencontre changera le tout pour le tout et ce, vraiment définitivement mais, dans quel sens ?

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Magie de Noël

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Adèle quitte la ville pour retourner dans sa campagne vêtue d’un simple tee-shirt alors qu’il fait -10°.

Tout en sueur, elle aperçoit …

Jeannot veuf qui élève seul son enfant, tous deux emmitouflés d’habits de neige, tout grelottants de froid.

Il est journaliste responsable d’animer une enchère de charité prévue pour cette veille de Noël. À la vue d’Adèle, il décide de démissionner.

Comme par hasard, Yvan, l’ex d’Adèle hérite du doublage de Jeannot. Il revient donc en ville en vitesse pour la veille de Noël. Quelle catastrophe ! Tout pour deviner la fin du film dans les 10 premières minutes.

Adèle et Jeannot partent en ville en compagnie du fils de ce dernier (6 ans) pour acheter un sapin et faire un peu de shopping de Noël ce, sans oublier quelques vêtements pour Adèle qui déteste Noël alors que c’est tout le contraire pour Jeannot.

Au retour, on dépose le sapin à la maison des enchères et, comme de raison, c’est chez Jeannot qu’on s’installe. On prépare un repas à la va vite. Puis, c’est déjà le temps de se rendre à la maison des enchères pour la toute fin de l’animation.

À la porte chante une chorale aux doux chants de Noël mais, oh ! Surprise, une fenêtre s’ouvre tout en haut de l’édifice et Yvan plonge tout droit dans le sapin au milieu de la chorale, les quatre fers en l’air pris dans les guirlandes … tous sont sans voix un moment puis, le chant se poursuit dans le rire pour les spectateurs et les membres de la chorale.

Suite à ce geste idiot, les yeux d’Adèle s’ouvrent en faveur de Jeannot qui saisit que pour eux d’eux, c’est vraiment définitif et, c’est pour ainsi dire, le miracle de Noël !

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Bonne semaine, en route vers le 1er de l’An nouveau,

Colette

Pour ce jeudi 22 décembre 2022 : Sens à la fête ⭐

DÔMI

À LA BARRE

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N°274

Thème : Silence on tourne !

Elle nous dit : pour les participations du jeudi, j’aimerais que vous redonniez un peu de magie à ceux pour qui cette fête de Noël a perdu tout son sens. Vous pourriez même dédier votre poème à des personnes de votre entourage.

Quant à moi, je le dédie à celles et ceux qui me liront, tout simplement. Merci à l’avance et JOYEUX NOËL !

Sens à la fête

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Silence accueil

Promesse à la terre

Bientôt le sauveur

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Attente comblée

Des moments féériques

Quel enchantement

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Dans une crèche

Au cœur du froid de l’hiver

Le sauveur est né

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Amour paix et joie

En présence du sauveur

Dans cette crèche

Bon jeudi,

Colette

Khalis

ICI

Khalis, surtout en cette période de Noël

est porté vers les démunis ;

ces invisibles de la société,

ces « laissé pour compte »

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Bohême et têtu

Missionnaire de la rue

Éclatant de vie

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Paix et harmonie

Vigilance au grand cœur

Rayon de soleil

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Voilà ce en quoi il se distingue, ce jeune,

à qui rien d’injuste n’échappe.

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Le prénom Khalis est d’origine arabe

et signifie

pur, droit, sincère, honnête.

Trouvé sur Internet

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Bon mercredi,

Colette

Petit jeu mensuel de Cricket (16)

CRICKET

N°1 et N°2

Homonymes à utiliser :

VINGT / VIN / VAINC / VINT / VAIN

Mes associations de mots au mot

MANTEAU

(Au moins 4)

Manteau, décembre, Noël, traîneau, enfance.

Mon texte :

Quant VINT le VINGT décembre, René arriva chez ses parents pour fêter Noël. Tout comme au temps de son enfance, avec son traîneau, il descendit à plusieurs reprises la pente allant de la grange à la maison. Son effort ne fut pas VAIN. Cette fois, il VAINC son record. Il fit alors dix fois plus de tours que l’an dernier. En guise de réconfort il partagea une coupe de VIN avec sa mère et son père. Tu ne vieilliras jamais mon cher de lui dire son paternel.

N°3

Acrostiche avec le mot manteau :

 

Magnifique manteau de neige,

Au soleil, tes radieux cristaux.

Neige à plein ciel d’mon pays blanc,

Tu danses douce blanche neige ;

En petits ou gros flocons brillants.

Au rebord des fenêtres collée,

Une vraie poudre blanche de fée.

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Bonne semaine,

Colette

L’Atelier de Ghislaine, N°204

GHISLAINE

Sujet 1

Papier, vent, feuille, confidence, parole, légère.

Sujet 2

Sombrer, fondre, craindre, poursuivre, continuer, faire.

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Dora

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Dora, viens t’asseoir un moment. J’ai une petite confidence à te faire. Je ne souhaite pas que tu sombres dans l’ennui, ni te mettre des bâtons dans les roues mais, tu m’inquiètes.

Tantôt, par le reflet du grand miroir du salon, je t’ai aperçue les pieds traînant, les yeux hagards, déchirer une feuille de papier ; laissant le tout voler au vent et, fondre en larmes puis, continuer si tristement ton chemin. Sérieusement, je crains pour toi. Je ne t’interroge pas à la légère car, ce comportement inconnu de toi, ne me prédit rien de bon. Vraiment, tu ne peux poursuivre ainsi.

J’ai eu une idée lumineuse en attendant ton retour. À partir de maintenant, en début de soirée, si la température s’y prête, nous irons marcher toi et moi. Nous pourrons alors bavarder et communiquer à notre goût. De paroles en paroles, nous partagerons nos joies et nos peines, rien que nous deux, pour notre plaisir. Tu verras, ce sera si agréable. Ce que je veux à tout prix, c’est de retrouver ma Dora d’avant. Je le sens, tout se passera pour le mieux. Tu veux essayer …

~

Bon dimanche,

Colette

Thème de décembre 2022 chez ABC : Entrez en fatrasie

ICI

Entrez en fatrasie

Fatrasie : Pièce poétique et satirique du Moyen Âge d’un caractère volontairement incohérent ou absurde.

La fatrasie est caractérisée par une forme fixe : elle comporte onze vers dont les six premiers sont de cinq pieds et les cinq derniers de sept pieds.

Elle est entièrement construite sur deux rimes, selon une disposition stricte.

N.B. : Vous comprendrez facilement que ce que je présente ici, pour relever le défi, n’est qu’un essai.

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Au chant des moineaux,

L’hiver, pieds bien chauds.

Vert sapin tout blanc,

Ciel gris bleu ; si beau.

Mouchent les enfants.

Au vent les cristaux.

Temps de tempête apaisant,

Mains gercées, douce météo.

Faut s’habiller chaudement ;

Le contraire, pas rigolo.

Charme déployé épatant.

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Bon vendredi,

Colette

Pour ce jeudi 15 décembre 2022 : L’âge

ICI

N°273

À la barre :

Colette

Thème : L’âge

Poème d’auteur ou personnel sur l’âge ou libre …

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Ce ne sera pas un poème d’auteur ou personnel

mais, ce sera un petit texte plein de malice.

L’âge

Par Philippe Noiret

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Il me semble qu’ils fabriquent des escaliers plus durs qu’autrefois. Les marches sont plus hautes, il y en a davantage. En tout cas, il est plus difficile de monter deux marches à la fois. Aujourd’hui, je ne peux en prendre qu’une seule.

À noter aussi les petits caractères d’imprimerie qu’ils utilisent maintenant. Les journaux s’éloignent de plus en plus de moi quand je les lis : je dois loucher pour y parvenir. L’autre jour, il m’a fallu sortir de la cabine téléphonique pour lire les chiffres inscrits sur les fentes à sous.

Il est ridicule de suggérer qu’une personne de mon âge ait besoin de lunettes, mais la seule autre façon pour moi de savoir les nouvelles est de me les faire lire à haute voix – ce qui ne me satisfait guère, car de nos jours les gens parlent si bas que je ne les entends pas très bien.

Tout est plus éloigné. La distance de ma maison à la gare a doublé, et ils ont ajouté une colline que je n’avais jamais remarquée avant.

En outre, les trains partent plus tôt. J’ai perdu l’habitude de courir pour les attraper, étant donné qu’ils démarrent un peu plus tôt quand j’arrive.

Ils ne prennent pas non plus la même étoffe pour les costumes. Tous mes costumes ont tendance à rétrécir, surtout à la taille. Leurs lacets de chaussures aussi sont plus difficiles à atteindre.

Le temps, même change. IL fait froid l’hiver, les étés sont plus chauds. Je voyagerais, si cela n’était pas aussi loin. La neige est plus lourde quand j’essaie de la déblayer. Les courants d’air sont plus forts. Cela doit venir de la façon dont ils fabriquent les fenêtres aujourd’hui.

Les gens sont plus jeunes qu’ils n’étaient quand j’avais leur âge. Je suis allé récemment à une réunion d’anciens de mon université, et j’ai été choqué de voir quels bébés ils admettent comme étudiants. Il faut reconnaître qu’ils ont l’air plus poli que nous ne l’étions ; plusieurs d’entre eux m’ont appelé « monsieur » ; il y en a un qui s’est offert à m’aider pour traverser la rue.

Phénomène parallèle : les gens de mon âge sont plus vieux que moi. Je me rends bien compte que ma génération approche de ce que l’on est convenu d’appeler un certain âge, mais est-ce une raison pour que mes camarades de classe avancent en trébuchant dans un état de sénilité avancée ? Au bar de l’université, ce soir-là, j’ai rencontré un camarade. Il avait tellement changé qu’il ne m’a pas reconnu.

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Merci monsieur Noiret

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Bon jeudi,

Colette