Mon mois émoi août 2022 : mercredi le 31 août

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PAR ICI

Le 3 août : J’ai une prise de sang pour mon rendez-vous annuel chez le médecin. Rien de bien spécial ; la vie continue.

Sauf que cet après-midi (30 août, j’ai reçu un message de ma cousine de Mississauga qui a appris par téléphone des deux sœurs d’une de nos compagnes plus âgée que moi, que j’étais décédée).  Elles lui ont dit que leur sœur en question leur avait certifié que Colette Chouinard était décédée. Elle a eu un choc, puisque j’avais répondue à son dernier message courriel. Elle leur a dit qu’il devait y avoir une autre religieuse qui portait le même prénom et nom que moi.

J’ajoute : Il n’en est rien, une Colette Chouinard, c’est assez et bien assez hein, qu’en pensez-vous ?

Puis, ma cousine ajoute : Si tu veux m’éclairer, si tu es toujours vivante, laisse-moi savoir. Cela m’a bien fait rire. Je ne pouvais passer l’occasion de vous le raconter.

Ce soir elle m’écrit : Alléluia ! Alléluia ! Tu es vivante !!!

Le 9 août : C’est ma coupe de cheveux mensuel.

Le 11 août : En matinée, ce sont les funérailles de l’une de nos compagnes, décédée le 29 juillet dernier.

Ce 11 août également, c’est la vue de notre belle lune :

Le 17 août : Nous sommes conviées à participer à notre traditionnelle édition du BBQ estival. Cet évènement se veut un moment de rassemblement à compter de 11 h 30 pour l’apéro. Le BBQ a débuté vers midi avec des hot-dogs, des hamburgers, des brochettes de poulet (ce qui fut mon choix) des frites, des légumes grillés et salades. Le dessert fut de la crème glacée liquide roulée sur une plaque à moins 20°C devant nos yeux.

Ce fut fort agréable !!!

Voici des photos de la préparation de ce rassemblement :

Le 25 août : Chez le dentiste pour la réparation de deux dents. Ouf ! C’est fait et, bien fait.

J'AI LU

La fin de l’automne de Deirdre Purcell

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Sur la pochette :

Née à Dublin en 1945, Deirdre Purcell a passé toute sa vie en Irlande. Successivement hôtesse de l’air puis comédienne, elle entre à la radio-télévision irlandaise dans les années soixante-dix et devient une journaliste célèbre. Elle abandonne la télévision pour la presse en 1983 et remporte rapidement les deux prix les plus prestigieux du journalisme irlandais. Passion irlandaise, le premier roman de Deirdre Purcell, a reçu le parrainage de Maeve Binchy, écrivain irlandais consacré. Elle a poursuivi son œuvre romanesque avec L’Été de nos seize ans, Une saison de lumière.

Toujours sur la pochette :

Élevé dans une ferme du sud de l’Irlande, le jeune Francey voue un véritable culte à son père, un grand acteur qui l’a abandonné. Il parvient à retrouver sa trace grâce à une ex-maîtresse de son père, devenue chanteuse de cabaret, qui l’aide dans ce sens. Il le rencontre dans un village anglais alors qu’il vient de perdre sa femme, une riche Américaine. Celle-ci laisse une part de son héritage aux trois fils de son mari. La quête paternelle vire alors à l’imbroglio familial ou affrontements et réalités se déchaînent …

Point n’est besoin de vous dire que j’ai apprécié cette lecture du début à la fin.

Voici quelques fleurs pour terminer :

Bon mercredi,

Colette

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Liste 41

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An’Maï et compagnie

Liste composée par Anne-Marie

Doré, intègre, reliques, revivre, faute, flamboyant,

minimiser, incontrôlable, menace, qualificatif.

~

Soulagement

.

Nous nous plaisons souvent à imaginer celles et ceux qui nous entourent tout autrement qu’ils ne le sont en réalité ; tandis que l’Amour nous convient à les aimer comme elles, ils sont vraiment. D’ailleurs, qui est absolument intègre, sans failles ou fautes dans la vie ? Qui nous a promis que tout serait doré et flamboyant ?

Un de ces jours, je me suis amusée à minimiser les travers des autres par de nouveaux qualificatifs car, je me suis convaincue qu’ils n’étaient nullement des menaces pour moi, tout de même. Alors, d’une certaine manière, j’ai accepté l’incontrôlable.

Fort curieusement, je me suis sentie à la mode et plus encore, je me suis trouvée dans le vent. Comment ça, me direz-vous !

En bien, de nos jours, tout est mini dans notre vie. Nous assistons à un mini- concert, nous participons à une mini-rencontre, nous achetons à mini-prix, nous jouons au mini-golf et, bien plus encore.

Donc, à la fin de cette journée, après avoir réduit au strict minimum les travers de mes semblables, je me suis sentie revivre en constatant et en acceptant bien humblement qu’elles et eux, tout comme moi, ne sont pas et ne deviendront certainement pas des reliques dans l’avenir mais, ce fut un bienfait pour elles et eux et, pour moi un soulagement.

~

Bon vendredi,

Colette

Entre le ciel et la terre

Mil et une

ICI

Sujet 009 du 13 au 27 août

Le mot à insérer facultativement est :

ÉGROTANT

égrotant

Entre le ciel et la terre

.

Sur son nuage, non pas en mangeant des bagels au Philadelphia mais, en tenant son maillet bien serré comme ça !

Un peu ÉGROTANT, oui, j’en conviens !

Le voilà qui intervient pour en décréter le droit.

De son index tendu, Dieu tente de le rejoindre …

Une voix se fit entendre entre le ciel et la terre :

Oh ! Là ! Tu n’en es pas le juge administratif mon cher !

Desserre les dents et ferme le poing !

Laisse à Dieu ce qui est à Dieu et, à la terre ce qui est de la terre, Alfred !

~

Bonne semaine

à

toutes et tous,

Colette

Petit jeu de Cricket (12)

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CRICKET

N°1 et N°2

1- Homonymes à utiliser :

PÈRE / PAIRE / PERD(S) / PAIR

2- Mes associations de mots

au mot PARENT(S) (au moins 4) :

Parent(s) (ascendant, descendant, petits-enfants, famille)

Mon teste :

Ascendant d’une très grande famille, l’arrière grand-PÈRE Octave est fier de ses descendants. Même un couple de jumeaux en font la PAIRE. Petits-enfants, arrières petits-enfants, et à presque cent ans, il n’en PERD aucun prénom. Il s’est bien conservé pour son âge mais, cela va de PAIR, me direz-vous ! Vous avez tout à fait raison ; ce n’est pas moi qui vais vous contredire là-dessus.

N°3

Acrostiche avec le mot parent(s) :

Parents qui avez choyés vos enfants,

Amour et reconnaissance avez en retour.

Réjouissez-vous de cette belle vie passée.

Ensemble, récoltez ce que vous avez semé.

Ne craignez pas ; serez à jamais dans leur mémoire.

Toujours et à jamais, serez dans leur cœur.

Souriez, dans cette vie, comme dans l’autre bien gravés.

~

Bon mercredi,

Colette

Liste 40

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An’Maï et compagnie

Liste proposée par Anne-Marie

~

Justifier, symbole, record, confort, irrésistible,

décoratrice, tradition, engagement, sélectionner, extraordinaire.

~

L’extraordinaire ordinaire

.

De ces liens tissés au fil des ans, dans le confort de mon bureau, de l’extraordinaire ordinaire, liens chargés de plaisir et de souvenirs partagés et ce, à partir de nos diverses communications décoratrices de notre quotidien ; dissoudre un tel engagement, ce serait une grande peine pour moi.

Pour moi, justement, c’est le flambeau qu’inspire la tradition écrite à l’encre indélébile, dans ce qu’elle a de merveilleux et qui se traduit en un symbole de vie.

Seule la force des choses m’y autoriserait. C’est si fort que j’aurais l’impression d’effilocher une très belle pièce de soie rare et de qualité, tant cela me tient à cœur. D’ailleurs, le record de mes commentaires de chaque jour en justifie le pourquoi et, en est le garant.

Commentaires que je découvre après avoir bu mon irrésistible café du début de journée. Cependant, dans les minutes et les heures qui suivent, je vaque à mon travail, bien entendu. Mais dès que j’ai un petit moment, je sélectionne quelques blogs et vite, me voilà en communication, ce que j’échelonne tout au long de la journée et aussi de la soirée, bien entendu.

~

Bonne semaine

à

toutes et tous,

Colette

Chez Lenaïg, thème : été brûlant

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C’EST ICI

Air chaud humide

Épuisement physique

Chaleur accablante

~

Au soleil ardent

En recherche de l’ombre

La pluie désirée

~

Plantes assoiffées

Pelouse couleur des blés

Brûlures dégâts

~

Repas plus léger

Une bonne hydratation

C’est primordial

~

Bon vendredi,

Colette

Pois vert la grenouille

Mil et une

ICI

Sujet 8 – du 30 juillet au 13 août

Le mot à insérer facultativement :

CONCLUSION

Conclusion

Pois vert la grenouille

.

Gonflée de la tête jusqu’au bout des pattes,

plus grosse que toutes les créatures sur terre ;

voilà que la tête lui chauffe.

Si petite est la terre !

Comment puis-je y entrer, maintenant ?

Je suis réelle où, je rêve se demanda

Pois vert la grenouille.

Un énorme coup de vent

la remit dans toute sa réalité de grenouille.

Elle repensa à sa vie, la sienne :

Elle est belle, ma vie de grenouille ;

c’est ma vie, la mienne !

Qu’est-ce que cela m’apporterait de plus,

que de conquérir le vaste monde !

Qu’est-ce que j’y rencontrerais surtout :

Misère peut-être, guerre certainement,

sécheresse, pauvreté … tout cela est bien trop

pour moi, simple petite grenouille.

À bien y penser, aussi, ce que j’ai,

c’est une valeur sûre et à ma portée !

Voici ma CONCLUSION, je regagne ma mare.

C’est ce que fit Pois vert la grenouille.

Puis, elle se sentit si heureuse

et, surtout à sa place de grenouille car,

à force de tout désirer, on finit par tout perdre.

~

Bonne fin de ce mardi

et

bon mercredi,

Colette

Café Thé N°147 : Une bonne nouvelle

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Logo créé par Renée du blog « Envie de »

CAFÉ THÉ

Il faut que jeunesse se passe (2)

Photo : Colettedc

Il faut que jeunesse se passe

.

Ah ! Ces souvenirs pleins de magie, du temps de ma jeunesse ! Seulement qu’à me les remémorer, cela me comble de joie. Je vous en raconte un, sans plus tarder.

Au cours de la soirée de ce jour dit, tout est calme au chalet. Toutes les personnes présentes, sauf nous, bien entendu, sont occupées par l’écoute de la nouvelle ballade que l’on interprète à la radio. Voilà que je fais briller aux yeux de ma copine, la plus près de moi, elle, aussi jeune et aussi fofolle que je le suis, ce vilain tour surprise.

Je lui susurre discrètement à l’oreille :

Tôt, demain matin, sans faire de bruit, on enfile nos maillots de bain, on entre dans le lac, quelle qu’en soit la température de l’eau et, on interpelle du plus fort que l’on peut toutes les autres qui dormiront certainement encore puis, on leur fait croire que l’eau est vraiment chaude ; que c’est même étonnant.

Je nous revois encore toutes les deux, dans la brume du matin, grelottantes de froid, bien calmes, supplier notre monde de nous rejoindre ; leur criant plus que parlant, qu’on n’avait jamais eu l’eau si confortable à cette heure du jour.

C’était de les voir arriver l’une derrière l’autre !

Attendez-vous, de leur dire, pour vous saucer en même temps !

Les orteils à l’eau ; le recul assez vite, merci !

Vous ne sauriez imaginer quel mauvais quart d’heure l’on a passé par la suite !

Surprise réussie ; j’en suis encore bien fière malgré le nombre des années écoulées.

~

Bonne semaine,

Colette

colette_chouinard@hotmail.com

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