Noël, dans mon enfance, c’était le jour où on me donnait une orange, et c’était un grand événement.
Sous la forme de cette pomme d’or, parfaite et brillante, je pensais tenir dans mes mains le bonheur du monde.
… nous en admirions la grosseur, la rondeur, l’éclat ; je prenais dans le buffet un de ces beaux verres à pied en cristal qu’on achetait alors dans les foires, et comme il y en avait deux ou trois en ce temps–là, dans presque toutes les maisons ouvrières, mais dont, bien entendu, on ne se servait jamais pour boire, je le renversais, le mettais à droite, au bout de la cheminée, et ma mère posait dessus la belle orange.
Pendant des mois, elle nous assurait par ses belles couleurs que le bonheur et la beauté étaient de ce monde.
Il m’arrivait d’insinuer qu’elle serait bientôt mûre …
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Culture générale :
1) Le Père Noël a été inspiré de Saint-Nicolas e Myre, personnage qui vécut au 1v siècle.
Où vivait-il ?
En Turquie près d’Antalya
2) Quelle était la couleur du Père Noël avant qu’il ne demeure rouge suite à sa médiatisation
par Coca-Cola dans les années 30 ?
Vert, blanc ou rouge
3) En quelle année le service postal permettant d’écrire au Père-Noël fut-il créé
Ce qui suit, c’est l’histoire d’un petit cochon chétif, dont le maître veut se débarrasser. Sa fille s’y oppose et s’occupe du petit, surnommé Wilbur. À la basse-cour, uniquement l’araignée Charlotte s’en réjouit. Elle est la seule à fraterniser avec lui. Alors qu’on s’apprête à le transformer en jambons, côtelettes, … etc. … elle lui fait la promesse qu’il sera épargné, et elle tisse dans ses toiles des mots élogieux pour lui, des mots qui frappent l’imagination des villageois. Elle trouve la formule efficace et fait appel à un rat égoïste, mais tout plein de ressources.
En contemplant, ce matin, de la fenêtre, le bel amoncellement de nuages, laissant voir, imagination aidant, une mer entourée de vagues, j’ai vite compris, que je n’avais pas perdu du tout, mon goût de l’émerveillement, devant les beautés de la nature. Aussi, cette petite neige toute fine, qui tombait, m’a vite ramenée à mes nombreux souvenirs de ma jeunesse, du temps des fêtes, y compris tous ces rassemblements en famille. Certes, je n’ai plus l’innocence de mon enfance, mais en fermant les yeux, je puis facilement vagabonder, sans trêve aucune, et retourner en ces lieux et me rappeler ces instants de pur bonheur, vécus en profondeur. Je cite : Le crissement des carrioles sur la neige durcie, particulièrement, de celle de mon grand-père paternel, celui-ci les cordeaux dirigés adéquatement, et moi, toute petite qui criait : Who ! … Marche ! Heureusement, le cheval n’en tenait pas compte du tout. Les festins pris chez ma grand-mère maternelle, où mon oncle (frère de ma mère) venait nous prendre en «Snow» (autoneige), ayant de toutes petites fenêtres rondes et très hautes. En tout cas, à l’époque, moi, je n’y voyais rien dehors. Je trouvais cela si mystérieux, d’arriver droit devant la maison en question. Pardon, si je vous ennuie avec tout cela, j’en aurais bien d’autres, mais vous pouvez me croire, c’est vraiment ainsi, que cela se passait. Ça fait du bien, de se remémorer ces moments du passé, tant de choses de nous, s’y rattachent ; choses justement qui contribuent à entretenir au cœur, cette magie de Noël.
Cette semaine, il nous faut trouver 6 fautes qui se sont glissées
dans cet extrait du roman
«Pêcheurs d’Islande » de Pierre Loti
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Il ne faisait même pas absolument nuit. C’était éclairé faiblement par un reste de lumière qui ne venait de nulle part.
Cela bruissait comme par habitude, rendant une plainte sans but.
C’était gris, d’un gris trouble qui fuyait sous le regard. La mer pendant son repos mystérieux et son sommeil, se dissimulait sous les teintes discrètes qui n’ont pas de nom …
Mais, en un point de ce ciel, très bas, près des eaux, elles faisaient une sorte de marbrure plus distincte, bien que très lointaine. Une dessin mou, comme tracé par une main distraite ; combinaison de hasard, non destinée à être vue, et fugitive, prête à mourir.
Et cela seul, dans tout cet ensemble, paraissait signifier quelque chose ; on eût dit que la pensée, mélancolique, était inscrite là ; et les yeux finissaient par s’y fixer, sans le vouloir.
Abraham est le père illustre d’une multitude de nations ; personne n’a jamais égalé sa gloire, Il a observé la Loi du Très-Haut qui l’a fait entrer dans son alliance ; cette alliance fut inscrite dans sa chair ; il resta fidèle au jour de l’épreuve. C’est pourquoi Dieu lui fit un serment : toutes les nations seraient bénies dans sa descendance, il le multiplierait comme la poussière du sol, il élèverait jusqu’aux étoiles sa descendance, sa postérité aurait pour domaine d’une mer à l’autre, depuis l’Euphrate jusqu’où finissent les terres du couchant. À Isaac il renouvela cette promesse, à cause d’Abraham son père. Puis il fit reposer sur la tête de Jacob la bénédiction pour tous les hommes, ainsi que l’alliance ; il le bénit personnellement et lui donna le pays en héritage. Il en divisa les parts et les distribua entre les douze tribus.
5. Un élément inattendu qui va débloquer la situation.
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Il était une fois, dans un petit village des plus campagnards, une petite fille différente de ses copines, qui elles, étaient nées dans cette campagne, éloignée de la grande ville ; dont elle-même venait. À l’école, on se plaisait à la narguer constamment. Entre autre, on lui suggérait fortement, de ne jamais traverser le petit bois, non loin de là. Pourquoi demandait-elle ! À cette question, la plus désagréable du groupe, lui avait répondu un jour, que le méchant loup la mangerait ; sans toutefois réussir à l’en persuader. Toujours est-il, que ce 24 décembre après-midi, jour où il avait neigé un tout petit peu, à peine assez pour décorer les branches des arbres, elle s’y hasarda. Après quelques pas, elle sentit un doux silence l’envahir. Moment sublime pour elle. Je ne vais pas me perdre, se dit-elle, je marcherai toujours tout droit devant moi, et inversement pour revenir. Passant près du ruisseau, elle s’attarda à écouter le bruit de l’eau sur les cailloux. L’eau était toute claire. Quelques moineaux sautillaient de branches en branches. Au loin, elle entendit un craquement, ce qui ne l’impressionna le moindrement du monde. Oh ! À quelques pas d’elle, un jeune chevreuil traversa le chemin, suivi d’un autre. Ils étaient majestueux ! Elle marchait toujours. Depuis combien de temps, elle n’aurait su le dire. Un peu fatiguée et quelque peu épuisée, elle s’assit et s’adossa à un arbre. Là, elle s’endormit paisiblement. La noirceur la surprit, mais elle ne s’en rendit pas compte. Elle fit un rêve magnifique. Elle vit trois hommes cheminant sur la route. Des brebis marchaient avec eux … bê … bê … bê … Au ciel, une étoile pas comme les autres, brillait de tous ses éclats. Ces hommes semblaient la suivre. Ils parlaient beaucoup entre eux ; ils étaient si heureux ! Quelque chose de spécial leur allumait le cœur. Un peu plus loin derrière, vint le grand loup gris, celui dont parlaient ses compagnes. Il lui montra ses crocs. Un court moment, la frayeur l’envahit. Elle se dissipa subitement, puisque suivit à peu de distance, un ange. Curieusement, il avait le bon et doux visage de sa mamie, décédée, quelques mois plus tôt. Ce défilé s’arrêta soudain, et Lili-Rose, c’était le nom de cette petite fille, entendit au loin une musique, accompagnée de ces mots : ♪ Il est né, le divin Enfant, jouez hautbois, résonnez musettes … ♪. À l’instant même, elle sentit qu’on la soulevait. C’était son papa adoré, qui tout joyeux, venait de retrouver son petit trésor. Viens vite, partons d’ici, car maman est très inquiète. Ce soir, c’est Noël. Elle repartit, sa petite main dans celle de son papa. Elle se sentit toute transformée, elle fixa longuement le ciel, ce soir là, et sembla voir danser l’étoile de son rêve. Quand elle sera devenue grande, elle pourra raconter ce moment d’extase à ses enfants et petits enfants. Ce Noël sera la grâce de sa vie, jusqu’à ce que son éternité s’empare d’elle, et qu’elle-même, devienne l’ange aidant pour chacun d’eux.
Que vaut le temps, s'il n'en reste plus pour s'émouvoir, s'attendrir, aimer ? Ce n'est pas nous qui décidons de notre temps, mais le temps qui tisse les jours ...
-Lauréanne Harvey
Citation
L'amitié est une chose rare, vraie et belle qui ne peut s'acheter. Si par bonheur tu l'as trouvée, empresse-toi de la cultiver ...
-Dorothée Beaudoin
Beauté de l’amitié …
Même si on montait jusqu'au ciel, on ne retirerait aucun plaisir de la contemplation du panorama si on n'avait personne à qui la raconter. La nature n'aime pas la solitude. C'est ce qui fait la beauté de l'amitié.
-Cicéron
Le fruit le plus agréable et le plus utile au monde est la reconnaissance. -Ménandre
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Émerveillement
Gage de bonheur …
Le sens de l'émerveillement est un gage de bonheur car la vie, pour peu qu'on sache lui forcer la main, ne refuse jamais à l'homme les occasions de s'émerveiller.
-Ginette Quirion
Harmonie
Les saisons sont ce qu'une symphonie devrait être : quatre mouvements parfaits en harmonie intime les uns avec les autres.
-Arthur Rubinstein
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